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Energéticien Angers

Perdre du poids, un expert en hypnose vous aidera à Angers

Peut-être avez-vous essayé de perdre du poids en suivant tel ou tel régime, en vous inscrivant à tel ou tel programme de coaching, sans toutefois réussir à maigrir de manière efficace et définitive. Pascal Brouard vous propose aujourd’hui de tenter la méthode de l’hypnose. Seulement quelques séances d’hypnose, technique simple, efficace et sans effets secondaires pour votre santé, vous suffiront pour retrouver durablement votre poids idéal.

Pourquoi prend-on du poids, pourquoi les troubles alimentaires ?

De manière générale, on arrive à une situation de surpoids quand l’apport de calories n’est pas compensé par leur dépense. Autrement dit, manger plus qu’on ne se dépense, ou manger plus que ses besoins entraîne la prise de poids.

Il existe toutefois une cause génétique à l’obésité, notamment dans le cas de certaines répartitions singulières de la masse graisseuse dans le corps, qui est parfois le résultat d’un héritage génétique. Ou encore un phénomène de dépense énergétique inférieur à la normale pour un même effort, autre caractéristique génétique. Au-delà de ces spécificités héréditaires, la cause la plus courante du surpoids demeure l’alimentation. Plus on consomme d’aliments riches en calories (macronutriments, sucre, sel) mais pauvres en vitamines et minéraux (micronutriments), plus on grossit, et d’autant plus si on n’a qu’une faible activité physique quotidienne qui ne permet pas de dépenser l’énergie apportée par cette alimentation déséquilibrée. C’est alors qu’un hypnothérapeute spécialisé dans la perte de poids peut intervenir pour modifier le comportement et la relation à la nourriture. En effet, le grignotage apparaît bien souvent comme une manifestation de stress, la nourriture devenant ainsi une source de réconfort. L’hypnose apporte une aide en ce sens où elle intervient sur la cause de la prise de poids : le stress, qu’elle peut complètement éliminer. La cause ayant disparu, la personne n’aura plus besoin de se réconforter avec de la nourriture, la prise de poids est stoppée et le retour au poids normal amorcé.

Les troubles alimentaires tels que la boulimie, l’anorexie, font appel à des facteurs psychologiques dont l’image de soi, le corps parfait que l’on pourrait modeler au moyen de l’alimentation. La nourriture devient dans ce cas l’objet de l’attention de tous les instants, une véritable obsession. L’hypnose intervient alors pour rétablir la perception de soi sur un mode moins conflictuel et amène la personne à changer son comportement envers la nourriture.

L’hypnose pour perdre du poids

Quand la personne est sous hypnose, elle est dans un état modifié de conscience. Son inconscient est plus réceptif, et c’est sur cette réceptivité que s’appuie le psychothérapeute en induisant une nouvelle perception des aliments, en suggérant une manière plus saine de s’alimenter. Quand par exemple le sujet cherche du réconfort dans les sucreries, le thérapeute s’adressera à son inconscient pour qu’il perçoive désormais ces aliments comme délétères. C’est ainsi le comportement de la personne envers les sucreries qui s’en trouvera modifié par la suite. Le thérapeute peut également intervenir sur la perception gustative en induisant un nouveau dégoût de la part du sujet pour la catégorie d’aliments qui lui sont néfastes.

Pascal Brouard, hypnothérapeute à Angers spécialisé dans la perte de poids, vous aidera à modifier votre comportement alimentaire. Vous diminuerez ainsi vos grignotages, vous mangerez moins en quantité, vous serez moins attiré par les nourritures peu saines, vous serez plus attiré par une alimentation équilibrée et saine. Après quelques séances, c’est toute votre hygiène de vie qui s’en trouvera améliorée avec l’envie de bouger plus, avec un sommeil plus réparateur, etc. Perdre du poids grâce à l’hypnose demande quelques séances – et pas une seule pour la bonne raison que les stimuli extérieurs sont nombreux : la publicité omniprésente, les commentaires et le comportement de l’entourage… Le travail et l’investissement de soi doivent donc être constants si l’on veut obtenir des résultats durables.

Les avantages d’une perte de poids avec l’hypnose

La personne qui choisit cette thérapie pour perdre du poids n’aura pas besoin de suivre quelque régime que ce soit, ni de se priver de quoi que ce soit. Il n’y a donc pas de risque de frustration alimentaire comme avec un « régime », ni de risque d’écart ou de tricherie. La méthode de l’hypnose pour perdre du poids est tout à fait naturelle et sans souffrance, sans aucune sensation de manque. Pascal Brouard vous accompagnera dans le processus et orientera votre subconscient vers des repas mieux choisis, plus équilibrés, moins volumineux, sans aucune contrainte pour vous. Par l’hypnose, votre cerveau sera reprogrammé pour un nouveau comportement alimentaire et les modifications physiologiques se feront ensuite toutes seules.

Parce que le processus commence par cette reprogrammation, la perte de poids se fait en douceur, le corps prend le temps de s’adapter, de s’habituer, et vous ne risquez pas l’effet yo-yo des régimes classiques trop frustrants. Vos résultats, avec l’hypnose, seront visibles et durables, et cela sans médicaments ni compléments alimentaires, sans menus imposés par les programmes de coaching, sans exercices obligatoires. L’hypnose agira sur la programmation de votre cerveau, et s’ensuivra tout le processus naturel du changement de comportement vers une hygiène de vie globale plus saine.

L’hypnose pour maigrir est une méthode simple, efficace et sûre, sans aucun effet indésirable puisqu’elle conduit à un comportement alimentaire équilibré. La perte des kilos en trop est une conséquence naturelle de ce nouveau comportement alimentaire adapté.

Choisir un hypnothérapeute pour perdre du poids

Bien que l’activité d’hypnothérapeute ne soit pas encore réglementée et que les meilleurs praticiens ne soient pas référencés de manière officielle, on peut toujours s’appuyer sur certains critères pour chercher un spécialiste fiable. Ainsi, l’hypnose demande une approche individuelle, car la situation et la motivation de la personne qui vient consulter sont proprement personnelles. C’est au vu des besoins que le spécialiste adoptera la technique qui lui semblera la plus adaptée. Quand vous cherchez votre thérapeute, attardez-vous un moment sur le taux de réussite de chacun en lisant sur son site les témoignages laissés par les précédents patients.

Pascal Brouard est spécialiste de la perte de poids sous hypnose à Angers et à Paris en plus d’être énergéticien. Ces deux pratiques lui permettent d’obtenir les meilleurs résultats, et 90% des personnes l’ayant consulté pour maigrir ont été satisfaites des changements que l’hypnose a apportés dans leur vie.

Le défi de l’obésité

Selon l’OMS (Organisation mondiale de la santé), l’obésité est un excès anormal de graisses dans le corps potentiellement néfaste à la santé. L’obésité est souvent le résultat d’un déséquilibre entre une consommation calorique trop élevée par rapport à la dépense énergétique de la personne. L’obésité n’est cependant pas une simple surcharge pondérale. L’embonpoint est moins important que l’obésité et n’est pas morbide. L’obésité est réellement dangereuse pour la santé de l’individu dont elle raccourcit bien souvent la durée de vie (d’environ 8 à 10 années).

Pour différencier l’obésité et l’embonpoint, la masse n’est pas le seul critère qui entre en compte. On se table en effet sur plusieurs indices qui permettent de déterminer si la personne est en état d’obésité, et ainsi prévoir l’incidence de son surpoids sur sa santé.

- L’IMC (indice de masse corporelle) est une première valeur à laquelle on se réfère, et c’est d’après l’OMS la valeur la plus fiable même si cet outil reste imprécis. Pour obtenir l’IMC d’une personne, on divise sa masse (en kilos) par le carré de sa taille (en mètres carrés). Si la valeur s’inscrit entre 25 et 29,9, on est dans une situation de surpoids. Si elle est supérieure ou égale à 30, on est dans l’obésité. Au-delà, il s’agit d’obésité morbide. Pour référence, l’IMC idéal pour la santé se situe entre 18,5 et 25. Une lacune de cet indice est qu’il n’indique pas la manière dont sont réparties les graisses dans le corps. Il ne fait pas non plus la différence entre la masse graisseuse et la masse musculaire. Il n’est donc pas très précis dans le cas où la personne est très musclée ou a des os volumineux.

- L’IMC est souvent complété par la mesure du tour de taille qui permet d’appréhender l’excès de graisse au niveau de l’abdomen. On parle d’obésité abdominale si le tour de taille est supérieur à 88 centimètres chez une femme et 102 centimètres chez un homme. Cet excès de graisse abdominale augmente les risques de diabète, d’hypertension et de maladies cardiovasculaires.

- Une autre valeur intéressante est le rapport entre la mesure du tour de taille et la mesure du tour de hanches qui montre mieux comment les tissus adipeux sont répartis. Si le résultat est supérieur à 1 chez un homme et à 0,85 chez une femme, le rapport est important. On connaît également d’autres outils pour mesurer l’excès de graisse, ainsi l’IMA (indice de masse adipeuse) évalue-t-il la circonférence des hanches et la grandeur, mais on n’a pas encore vraiment prouvé son efficacité et la médecine ne s’y réfère pas encore.

Il est fréquent que le médecin demande un bilan sanguin au patient afin de cerner les facteurs qui sont potentiellement impliqués dans le problème. L’obésité est en augmentation depuis trente ans, on la retrouve à tous les âges, dans tous les groupes socio-économiques. Il y a environ 1,5 milliard de personnes de plus de 20 ans atteintes de surpoids, et un tiers d’entre elles sont obèses. En France, 15% de la population adulte est obèse, et le tiers des Français sont en surcharge pondérale.

En ce qui concerne l’origine de l’obésité, elle est multiple, entre des facteurs liés à l’individu, des facteurs liés à l’environnement, et des bouleversements sociaux qui favorisent la prise de poids.

Les facteurs liés à l’individu : - L’hérédité peut jouer un rôle. Il s’agit d’une prédisposition génétique qui implique souvent plusieurs gènes. - Les comportements alimentaires : manger de trop grosses quantités régulièrement, manger des aliments trop riches en glucides, en lipides, en sel. Ne pas avoir de régularité dans ses repas entraîne les craquages alimentaires. L’ennui, le stress, la solitude ou certains autres états émotionnels peuvent jouer sur le comportement alimentaire, la nourriture devenant un réconfort, ou parfois une récompense. - La sédentarité favorise le surpoids. Nous sommes de moins en moins actifs, même dans nos loisirs (télévision, jeux vidéo, surf sur Internet). - L’âge, impliquant souvent une baisse de l’activité, devient un facteur de prise de poids avec diminution de la masse musculaire, ce qui ralentit le métabolisme. Il faut savoir que les besoins caloriques se réduisant avec l’âge, les apports caloriques doivent également être revus à la baisse. - Le stress est souvent un facteur de prise de poids. Après un événement personnel difficile à vivre (rupture, décès, perte d’un emploi…), il arrive qu’on se tourne vers l’absorption de nourriture pour se réconforter, comme une compensation de l’épreuve. - La détresse psychologique, le désespoir, l’anxiété, la dépression : toute grande souffrance psychologique peut pousser une personne à manger pour se soulager. - L’influence de la famille et du cercle culturel peut implanter des habitudes quotidiennes et forcer à manger. - Le manque de sommeil peut augmenter la sensation de faim. - Certains médicaments peuvent également être impliqués dans une prise de poids quand ils sont pris sur le long terme (exemples : antidépresseurs, antipsychotiques, corticostéroïdes). - L’alcool fait grossir, car il stimule l’appétit et est lui-même calorique.

Les facteurs liés à l’environnement : Bien que ces facteurs liés à l’individu soient évidemment à prendre en compte, on sait aujourd’hui que l’obésité dépend très fortement de l’environnement. Quand on parle d’environnement, on parle des politiques du gouvernement, de l’abondance des aliments disponibles riches en glucides, en lipides et en sel (très caloriques, peu nutritifs), de la sédentarité, du facteur stress, du manque d’activité sportive possible. Autant d’éléments extérieurs qui favorisent l’apparition d’un environnement « obésogène ». Ces conditions sont caractéristiques des pays développés, mais se multiplient également dans les pays en voie de développement par imitation du mode de vie. Ce modèle d’environnement devient alors particulièrement dangereux pour les personnes qui présentent une héritage génétique propice à l’obésité. Dans l’environnement, on trouve également le lieu de vie : ainsi, on compte plus de personnes obèses en milieu urbain qu’en milieu rural, et ceci à l’échelle internationale.

Les bouleversements sociaux qui favorisent la prise de poids : - L’industrie alimentaire met à disposition des consommateurs des aliments riches en calories (glucides, lipides, sel) en abondance et leur accès est non seulement facile mais aussi économiquement avantageux. - La publicité à la télévision a un pouvoir immense sur les enfants, particulièrement visés par les annonceurs, qui leur proposent des aliments délétères. - Les autres formes de publicité et les médias en général mettent en avant la minceur. - Les plats préparés industriellement, ou même par des restaurants, favorisent l’obésité. Les parents qui y recourent (par manque de temps ou autre choix) ne contrôlent plus la nutrition de leurs enfants et ne sont plus en mesure de les éduquer sur le plan d’une alimentation saine. - La fréquentation des restaurants augmente. - Les portions proposées à l’extérieur du foyer (restaurants et grandes surfaces) sont de plus en plus grosses. - La sédentarité au travail (automatisation des tâches et progrès technologiques) entraîne une baisse de l’activité physique. - L’aménagement urbain, les transports individuels ou en commun ne favorisent plus la marche ou l’activité physique (vélo). - L’insécurité dans certaines villes empêchent les enfants de sortir. Ils restent à l’intérieur et s’occupent de manière sédentaire.

L’obésité a un certain nombre de répercussions qui alarment les médecins. Elle favorise l’apparition de maladies chroniques après une dizaine d’années de surpoids : diabète de type 2, hypertension, calculs biliaires, tous les problèmes liés à la vésicule, dyslipidémie, essoufflements et sueurs, apnée du sommeil, troubles coronariens, AVC, insuffisance et arythmie cardiaques, arthrose du genou, certains cancers hormonosensibles comme le cancer du sein, du col de l’utérus, de la prostate, d’autres cancers digestifs tels les cancers du colon, du pancréas, du foie, une baisse de la fertilité, des cas de démence, de phlébite, etc. La répartition de la masse graisseuse sur le corps détermine la survenue de maladies. L’excès de gras sur le ventre est typique de l’obésité masculine, pour des raisons hormonales. On parle alors d’obésité androïde. Cette prépondérance graisseuse sur l’abdomen est plus risquée qu’une masse graisseuse répartie de manière homogène entre les hanches, les cuisses et la périphérie, qui est plutôt caractéristique de l’obésité féminine (toujours pour des raisons hormonales), dite obésité gynoïde. Jusqu’à la ménopause, les femmes ont en général deux fois moins de tissu adipeux que les hommes.

Il faut toutefois souligner l’inquiétude des spécialistes devant l’augmentation du nombre de jeunes en surpoids ou carrément obèses, entraînant une augmentation des diabètes de type 2 (entre autres) chez les adolescents. Ces personnes obèses, quand elles arrivent à l’âge de la vieillesse, bénéficient d’une qualité de vie moindre et d’une espérance de vie plus courte comparé aux personnes qui ne sont pas en surcharge pondérale. Malheureusement, les enfants actuellement obèses ont une espérance de vie au maximum égale à celle de leurs parents : on est en face de la première génération dont l’espérance de vie n’est pas plus longue que celle de la génération précédente.

Enfin, la charge mentale et psychologique des personnes obèses est très lourde dans une société où les critères de beauté imposés par la mode et les médias sont ceux de la minceur. Ces personnes se sentent exclues, en détresse, dépressives, et le stress engendré par leur situation rend encore plus difficile la perte de poids tant souhaitée.

Peut-on prévenir l’obésité ? La prévention devrait en théorie commencer dès la première alimentation solide du nourrisson. Des études ont montré que le comportement alimentaire pendant l’enfance est fortement lié au risque d’obésité. Donner des aliments « minceur » à l’enfant ou lui faire suivre des régimes sévères sans pour autant travailler sur ses habitudes alimentaires n’est pas la chose à faire. L’alimentation doit être variée, comporter des légumes et des fruits frais, les repas doivent être cuisinés à la maison et non industriellement, la cuisson doit utiliser peu de graisses…

Les parents ont alors pour mission de montrer l’exemple. L’enfant imite ses parents, il sera donc plus enclin à se nourrir sainement s’il voit ses parents manger sainement. Les repas pris en famille permettent d’établir de bonnes habitudes alimentaires. Concernant le bébé, on recommande de ne pas le nourrir dès qu’il pleure, car il ne pleure pas forcément de faim, il a peut-être seulement besoin d’une présence, d’un câlin. On évite ainsi le comportement adulte qui consiste à se réconforter par la nourriture. Un enfant qui termine son assiette n’est pas à féliciter : c’est normal, il ne doit pas le faire pour faire plaisir à ses parents. La nourriture n’est ni une récompense ni une punition. L’enfant a le droit de ne pas avoir faim, ou d’avoir encore faim. L’appétit varie d’un jour à l’autre, même chez le bébé. Tant que l’enfant est hydraté et qu’il ne maigrit pas, tout va bien, même si le biberon ou l’assiette n’est pas fini. C’est l’enfant lui-même qui doit apprendre les signes de satiété, on ne doit donc pas lui imposer de finir son repas. Les boissons sucrées telles que les jus de fruits (même naturels) doivent être limitées à un verre par jour car elles sont très caloriques mais ne permettent pas la satiété. Dans le même ordre d’idée, on n’ajoute pas de sucre dans les compotes ou les yaourts. Les repas doivent être variés, ainsi que leur préparation, et proposer régulièrement de nouvelles saveurs à l’enfant.

Parallèlement à l’instauration d’une alimentation saine, les parents auront à cœur de proposer une activité physique régulière à l’enfant. C’est un point essentiel dans une santé forte avec un poids stable. L’exercice physique augmente la masse musculaire, et permet de dépenser de l’énergie. Il est donc important de motiver l’enfant à bouger, et le faire avec lui augmente tout de suite cette motivation ! Pourquoi ne pas se déplacer à pieds pour aller faire les courses dans les petits commerces de quartiers plutôt que d’aller au supermarché en voiture ? Par ailleurs, le temps passé devant la télévision doit être réduit et le sommeil doit être de qualité. En effet, de nombreuses études montrent qu’un bon sommeil favorise un bon contrôle du poids. Le manque de sommeil entrainerait une fatigue qu’il serait tentant de combler par l’augmentation de la consommation alimentaire. Le sommeil est donc l’allié important d’un poids sain, d’autant que la production d’hormones déclenchant la faim se fait surtout quand l’organisme est fatigué.

N’oublions pas le facteur stress dans la gestion du poids : un organisme en stress a tendance à manger plus, plus vite et moins bien. On limite donc les situations stressantes chez l’enfant, ou on trouve un autre moyen de l’apaiser.

Améliorer sa santé est donc un acte personnel et quotidien. Pluridisciplinaire. C’est ainsi que l’on sera efficace. Une consultation médicale, puis avec un diététicien, un kinésiologue, un psychologue et un hypnothérapeute peut s’avérer fort utile. Le médecin établit le bilan de santé, puis les autres experts apportent leur savoir-faire et leur pratique. Même quand le poids stable et sain est atteint, il peut être rassurant de poursuivre le suivi.

Dans cette démarche globale, on exclura les régimes, les programmes amincissants. Ils peuvent se montrer efficaces et concrets dans un premier temps, sur du court terme, mais pas sur du long terme, du fait de toutes les frustrations qu’ils engendrent. De plus, ils sont risqués. En effet, on peut s’attendre à une reprise du poids à long terme (la privation calorique étant insoutenable et les habitudes alimentaires toujours ancrées, donc le comportement de base n’a pas changé), ce qui engendre du stress physique et psychologique. On peut également souffrir de perturbations alimentaires après un régime : carences nutritionnelles ou excès de certains macronutriments. Un diététicien-nutritionniste peut vous orienter vers l’alimentation qui vous convient en écoutant vos goûts et votre style de vie.

Par ailleurs, l’exercice physique est fortement conseillé. Il permet la dépense énergétique et aide à maigrir. Il améliore l’état de santé de manière générale. Un kinésiologue peut ici être utile en proposant une activité adaptée à vos besoins et votre rythme de vie. Et vos préférences, bien sûr !

En même temps que vous aurez engagé cette démarche de perte de poids, il serait intéressant de consulter un psychologue pour connaître l’origine de votre surpoids, pour mieux gérer le stress et reprendre confiance en vous. L’hypnose peut également vous aider sur ce plan. En ce qui concerne une éventuelle médication, il existe certains traitements qui peuvent vous aider à perdre du poids, mais on les réserve aux personnes à risques comme les diabétiques, les hypertendus, les cardiaques. Ces médicaments doivent être pris sur le long terme pour en conserver l’effet amaigrissant et on conseille de suivre un régime en parallèle. Ce qui peut implique de nombreux effets secondaires et des contre-indications. L'orlistat (Xenical) est un exemple : il réduit l'assimilation des graisses alimentaires (de l'ordre de 30% environ). Le gras non assimilé est évacué dans les selles. Un régime pauvre en graisses doit être suivi à côté pour prévenir ou limiter les effets indésirables (notamment des matières fécales liquides et huileuses, une envie irrépressible d'aller à la selle, des flatulences, des maux à l'abdomen). Consulter un médecin est fortement préconisé avant de prendre ce médicament.

Dans le cadre d’une perte de poids importante, l’intervention chirurgicale est parfois proposée, c’est la chirurgie bariatrique : on réduit la taille de l’estomac ce qui réduit l’absorption de nourriture d’environ 40% environ. On réserve cette intervention aux personnes en situation d’obésité morbide (IMC supérieur à 40) et à celles qui ont une maladie associée à l’obésité et dont l’IMC est supérieur à 35.

Pourquoi s’efforcer à perdre du poids alors que c’est si difficile ? - On est moins essoufflé, on transpire moins lors d’un effort - Les articulations font moins mal - On est plus tonique, plus souple.

Il est possible de consommer certains aliments spécifiques qui favorisent la perte de poids, mais gardons à l’esprit qu’ils ne suffisent pas en eux-mêmes pour lutter contre l’obésité. D’abord, le thé vert en extrait aurait des effets amincissants. Il permettrait de réguler le poids quand il est consommé en complément d’une alimentation saine. En effet, la dépense énergétique serait augmentée en présence des catéchines et de la caféine contenues dans le thé vert. Cet aliment aiderait ensuite à conserver un poids de forme et à ne pas grossir à nouveau. Ensuite, le piment de Cayenne a montré un intérêt dans le métabolisme des graisses, sur la dépense d’énergie en phase de repos et sur le contrôle de la faim. Des compléments naturels, oui, mais bannissons les produits amincissants tels que les substituts de repas (parfaitement industriels), les médicaments et autres produits de beauté minceur, obtenus en vente libre, et qui peuvent être fortement délétères. Qu’ils se présentent en tisanes, en suppléments, en boissons, en timbres à coller ou en barres nutritives, ces produits ne sont pas bons pour la santé ainsi que l’a souligné l’Association pour la santé au Québec : néfastes et inefficaces pour maigrir sur le long terme. Sans parler des autres conséquences négatives encourues lors de leur consommation : arythmie cardiaque, déséquilibres électrolytiques, ostéoporose, calculs biliaires, et tous les troubles psychologiques comme la perte de l’estime de soi et le sentiment d’impuissance.

À propos de Pascal Brouard

Psychanalyste lacanien, je pratique l’hypnothérapie depuis 1996. Je me consacre aux thérapies brèves depuis 2004. Également énergéticien, je cumule ces deux disciplines qui m’ont permis de développer une technique personnelle. J’aide les gens à se débarrasser de leurs phobies, du tabac, des douleurs, de certains comportements (boulimie, surpoids). Dans la plupart des cas, j’utilise ma méthode personnelle qui est un mélange d’hypnose et d’énergétique, notamment pour la maladie de Dupuyren ou doigts tordus. Je réserve la transe profonde à l’arrêt du tabac, qui se déroule en une seule séance.

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